Se faire dépister régulièrement est essentiel pour préserver sa santé sexuelle et éviter des complications à long terme. Mais quand faut-il réellement faire un test IST ? Quels sont les symptômes qui doivent alerter ? Et quelles précautions prendre avant le dépistage ?
Les signes qui doivent alerter
Beaucoup d’infections sexuellement transmissibles (IST) sont asymptomatiques, mais certains symptômes doivent pousser à se faire tester rapidement :
pertes vaginales inhabituelles,
brûlures ou douleurs urinaires,
démangeaisons ou irritations,
saignements en dehors des règles,
douleurs pelviennes ou pendant les rapports.
Pour mieux comprendre les conséquences d’une IST non traitée, consultez : Les effets à long terme des IST non traitées chez les femmes
Les moments clés pour se faire dépister
Même sans symptômes, certains contextes nécessitent un dépistage préventif :
après un rapport sexuel non protégé,
après un changement de partenaire,
avant d’arrêter le préservatif dans une relation stable,
pendant une grossesse ou un projet de grossesse,
dans le cadre d’un suivi de santé régulier.
Si vous souhaitez mieux comprendre le fonctionnement des tests, lisez notre guide complet : Guide du test vaginal et test IST
Fiabilité et précautions à prendre
Un test IST doit être réalisé dans de bonnes conditions pour être fiable.
Attendre quelques jours après un rapport à risque (fenêtre de détection).
Lire attentivement la notice.
Compléter si besoin par un dépistage en laboratoire.
Le test vaginal et test IST permet un dépistage discret, fiable et rapide depuis chez soi, avec un prélèvement simple et des résultats sécurisés.
Conclusion
Se faire dépister au bon moment, c’est agir pour sa santé intime mais aussi protéger ses partenaires. En cas de doute, n’attendez pas : mieux vaut un test trop tôt qu’un diagnostic trop tard.
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